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Frédéric AGUESSY
Piano
Lauréat des concours de Genève et Naples en 1974, de Budapest et Santander en 1976, le pianiste français Frédéric AGUESSY remporte en 1979 le 1er Grand Prix du Concours Marguerite Long-Jacques Thibaud. Cette récompense lui ouvre les portes d'une carrière internationale qui le conduira de Londres à New-York, du Japon à l'Amérique du sud et à travers la plupart des pays européens (Allemagne, Suisse, Italie, Portugal, Espagne, Pologne, Hongrie.).
Ayant joué en concert avec de nombreux orchestres (Orchestre de Paris, Orchestre du Capitole de Toulouse, Orchestre Philharmonique des Pays de Loire, Orchestre National de l'Opéra de Monte-Carlo, Orchestre de la Philharmonie G.Enesco de Bucarest, Orchestre Cannes Provence Côte d'Azur, Orchestre Sinfonietta de Picardie, Orchestre Bernard Thomas), il consacre une part importante de ses activités à la musique de chambre. Il participe à de nombreux festivals: Festival de piano de Yokohama (Japon), Festival des Arcs, Festival de La Roque d'Anthéron, Festival International de Montpellier et de Radio-France, Festival Estival de Paris, Festival International du Jeune Soliste d'Antibes.
Disposant d'un large répertoire où la musique française tient une grande place, il crée plusieurs œuvres dont il a lui-même sollicité la composition (Etudes pour piano d'Anthony Girard, Concerto pour piano et orchestre de Max Pinchard). Il a également enregistré pour le disque des œuvres pour piano de Jehan Alain, des Transcriptions et paraphrases de Franz Liszt ainsi que les Sonates pour violon et piano d'Ernest Bloch avec Alexis Galperine. Il s'intéresse par ailleurs à la direction d'orchestre et a dirigé des œuvres pour orchestre de chambre ainsi que des œuvres pour chœur et orchestre.
Il a enseigné au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et est actuellement professeur au Conservatoire National de Région de Rouen.
Lauréat des concours de Genève et Naples en 1974, de Budapest et Santander en 1976, le pianiste français Frédéric AGUESSY remporte en 1979 le 1er Grand Prix du Concours Marguerite Long-Jacques Thibaud. Cette récompense lui ouvre les portes d'une carrière internationale qui le conduira de Londres à New-York, du Japon à l'Amérique du sud et à travers la plupart des pays européens (Allemagne, Suisse, Italie, Portugal, Espagne, Pologne, Hongrie.).
Ayant joué en concert avec de nombreux orchestres (Orchestre de Paris, Orchestre du Capitole de Toulouse, Orchestre Philharmonique des Pays de Loire, Orchestre National de l'Opéra de Monte-Carlo, Orchestre de la Philharmonie G.Enesco de Bucarest, Orchestre Cannes Provence Côte d'Azur, Orchestre Sinfonietta de Picardie, Orchestre Bernard Thomas), il consacre une part importante de ses activités à la musique de chambre. Il participe à de nombreux festivals: Festival de piano de Yokohama (Japon), Festival des Arcs, Festival de La Roque d'Anthéron, Festival International de Montpellier et de Radio-France, Festival Estival de Paris, Festival International du Jeune Soliste d'Antibes.
Disposant d'un large répertoire où la musique française tient une grande place, il crée plusieurs œuvres dont il a lui-même sollicité la composition (Etudes pour piano d'Anthony Girard, Concerto pour piano et orchestre de Max Pinchard). Il a également enregistré pour le disque des œuvres pour piano de Jehan Alain, des Transcriptions et paraphrases de Franz Liszt ainsi que les Sonates pour violon et piano d'Ernest Bloch avec Alexis Galperine. Il s'intéresse par ailleurs à la direction d'orchestre et a dirigé des œuvres pour orchestre de chambre ainsi que des œuvres pour chœur et orchestre.
Il a enseigné au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et est actuellement professeur au Conservatoire National de Région de Rouen.

Michel BEROFF
Piano
Michel Béroff est né à Epinal en 1950. Après un premier prix de piano au CNSM de Paris dans la classe de Pierre SANCAN en 1966, il se voit décerner l’année suivante le premier prix du premier concours international Olivier MESSIAEN. Il est depuis considéré comme l’un des plus importants interprètes de ce compositeur.
La carrière de Michel Béroff l’a mené dans le monde entier, jouant avec les orchestres les plus prestigieux, sous la direction de chefs tels qu’Abbado, Barenboim, Bernstein, Boulez, Dohnanyi, Dorati, Dutoit, Eschenbach, Gielen, Inbal, Jochum, Leinsdorf, Masur, Ozawa, Previn, Rostropovitch, Sinopoli, Solti, Tennsted, Tilson-Thomas, Zinman.
Ses activités de chambriste, l’ont amené à collaborer activement avec Martha Argerich, Barbara Hendricks, Jean-Philippe Collard, Lynn Harrell, Augustin Dumay, Pierre Amoyal.
Artiste exclusif EMI pendant plus de vingt ans, Michel Beroff a effectué plus de 50 enregistrements, parmi lesquels les oeuvres intégrales pour piano et orchestre de Liszt, Prokofieff et Stravinsky sous la direction de Kurt Masur et Seiji Ozawa, ainsi que des oeuvres de Bach, Brahms, Schumann, Dvorak, Moussorgsky, Saint-Saens, Debussy, Ravel, Messiaen, Stravinsky et Bartok.
Pour Deutsche Grammophon, Michel Béroff a enregistré le concerto pour la main gauche de Ravel avec le London Symphony Orchestra sous la direction de Claudio Abbado.
Pour la firme Denon, l’intégrale de la musique pour piano de Claude Debussy.
Ses enregistrements ont été primés par cinq “Grand Prix du Disque”.
Michel Béroff est né à Epinal en 1950. Après un premier prix de piano au CNSM de Paris dans la classe de Pierre SANCAN en 1966, il se voit décerner l’année suivante le premier prix du premier concours international Olivier MESSIAEN. Il est depuis considéré comme l’un des plus importants interprètes de ce compositeur.
La carrière de Michel Béroff l’a mené dans le monde entier, jouant avec les orchestres les plus prestigieux, sous la direction de chefs tels qu’Abbado, Barenboim, Bernstein, Boulez, Dohnanyi, Dorati, Dutoit, Eschenbach, Gielen, Inbal, Jochum, Leinsdorf, Masur, Ozawa, Previn, Rostropovitch, Sinopoli, Solti, Tennsted, Tilson-Thomas, Zinman.
Ses activités de chambriste, l’ont amené à collaborer activement avec Martha Argerich, Barbara Hendricks, Jean-Philippe Collard, Lynn Harrell, Augustin Dumay, Pierre Amoyal.
Artiste exclusif EMI pendant plus de vingt ans, Michel Beroff a effectué plus de 50 enregistrements, parmi lesquels les oeuvres intégrales pour piano et orchestre de Liszt, Prokofieff et Stravinsky sous la direction de Kurt Masur et Seiji Ozawa, ainsi que des oeuvres de Bach, Brahms, Schumann, Dvorak, Moussorgsky, Saint-Saens, Debussy, Ravel, Messiaen, Stravinsky et Bartok.
Pour Deutsche Grammophon, Michel Béroff a enregistré le concerto pour la main gauche de Ravel avec le London Symphony Orchestra sous la direction de Claudio Abbado.
Pour la firme Denon, l’intégrale de la musique pour piano de Claude Debussy.
Ses enregistrements ont été primés par cinq “Grand Prix du Disque”.

Philippe BIANCONI
Piano
Depuis l'obtention de la Médaille d'Argent au Concours International Van Cliburn dans les années 1980, Philippe Bianconi mène une carrière internationale, poursuit son itinéraire musical et trace patiemment son chemin loin du battage médiatique.
Le pianiste français Philippe Bianconi a été décrit comme un artiste dont le jeu est "toujours proche de l'âme de la musique, remplissant l'espace de poésie et de vie" (Washington Post), "une exposition extraordinaire de musicalité, de maîtrise technique et de bon goût qui a prêté la musique une fraîcheur, une immédiateté et une conviction que l'on ne rencontre que trop rarement » (The London Times). Après avoir remporté la médaille d'argent au septième concours international Van Cliburn, Bianconi a fait ses débuts acclamés en récital au Carnegie Hall en 1987 et, depuis lors, a captivé le public et les critiques du monde entier.
Philippe Bianconi s'est produit avec les meilleurs orchestres d'Amérique du Nord, dont ceux de Cleveland, Los Angeles, Pittsburgh, Baltimore, Saint-Louis, Atlanta, Dallas, Minnesota, Buffalo, Montréal, Vancouver, Québec et au Ravinia Festival avec le Chicago Symphony sous James Conlon. Il a collaboré avec des chefs d'orchestre aussi distingués que Lorin Maazel, Christoph von Dohnanyi, Kurt Masur, David Zinman, JoAnn Falletta, Marek Janowski, Gennady Rozhdestvensky, Stanislaw Skrowaczewski, Edo de Waart et Yoav Talmi.
Depuis l'obtention de la Médaille d'Argent au Concours International Van Cliburn dans les années 1980, Philippe Bianconi mène une carrière internationale, poursuit son itinéraire musical et trace patiemment son chemin loin du battage médiatique.
Le pianiste français Philippe Bianconi a été décrit comme un artiste dont le jeu est "toujours proche de l'âme de la musique, remplissant l'espace de poésie et de vie" (Washington Post), "une exposition extraordinaire de musicalité, de maîtrise technique et de bon goût qui a prêté la musique une fraîcheur, une immédiateté et une conviction que l'on ne rencontre que trop rarement » (The London Times). Après avoir remporté la médaille d'argent au septième concours international Van Cliburn, Bianconi a fait ses débuts acclamés en récital au Carnegie Hall en 1987 et, depuis lors, a captivé le public et les critiques du monde entier.
Philippe Bianconi s'est produit avec les meilleurs orchestres d'Amérique du Nord, dont ceux de Cleveland, Los Angeles, Pittsburgh, Baltimore, Saint-Louis, Atlanta, Dallas, Minnesota, Buffalo, Montréal, Vancouver, Québec et au Ravinia Festival avec le Chicago Symphony sous James Conlon. Il a collaboré avec des chefs d'orchestre aussi distingués que Lorin Maazel, Christoph von Dohnanyi, Kurt Masur, David Zinman, JoAnn Falletta, Marek Janowski, Gennady Rozhdestvensky, Stanislaw Skrowaczewski, Edo de Waart et Yoav Talmi.

Stephanie-Marie DEGAND
Violon
Élève à Caen de Jean-Walter Audoli mais aussi d'Emmanuelle Haim, Stéphanie-Marie Degand est admise à l'unanimité en 1990 au Conservatoire de Paris dans la classe de Jacques Ghestem où elle fait un parcours original et remarqué (quatre 1ers prix et un cycle de perfectionnement en violon). Elle y fonde sa démarche actuelle en étudiant tant les répertoires romantique et contemporain que baroque et classique, se perfectionnant auprès de William Christie, Patrick Bismuth, Christophe Rousset et Christophe Coin.
Depuis Stéphanie-Marie Degand mène une carrière brillante et atypique. Soliste, récitaliste, chambriste mais aussi violon solo engagé, elle s'attache à rechercher les sonorités et les styles propres à chaque oeuvre du vaste répertoire violonistique. Cette démarche artistique est régulièrement saluée : Grand Prix de l'Adami 95, 2ème Prix du Concours Ferrras-Barbizet 97, finaliste au concours Munich ARD 98, Révélation Classique au Midem 98, Lauréate de la Fondation Natexis 99 et Prix de la Sacem 2002. En 2005 elle est nommée Révélation « Soliste Instrumental » aux Victoires de la Musique Classique.
Stéphanie-Marie Degand se produit dans les meilleures salles et festivals européens, notamment aux côtés de Violaine Cochard, Olivier Peyrebrune, Vahan Mardirossian, Vanessa Wagner, Xavier Phillips, Emmanuelle Bertrand et Antoine Tamestit, et avec des orchestres historiques tels que la Chambre Phillharmonique, Le King’s Consort, Les Siècles, Le Parlement de Musique.
Son disque-récital de Biber à Tanguy (Intrada 2002) a été chaleureusement accueilli par la Critique (ffff de Télérama). Elle a également gravé deux Concertos du Chevalier de St George (Assai) et le Concerto pour violon et orgue de Haydn avec Olivier Vernet (Ligia).En 2006 sont parus les Duos pour violon et alto de Mozart avec Pierre Franck (Ligia) ainsi que les « German Arias » pour soprano et violon de G.F.Haendel avec Carolyn Sampson et le King’s Consort (Hypérion) ; en 2008 les Sonates et Romances de Schumann avec O.Peyrebrune (Ligia) et en 2009 un récital consacré à Théodore Dubois avec Laurent Martin (Ligia). Un récital Mozart-Duphly (Violaine Cochard, clavecin) est à paraitre, et en 2011-12 elle enregistre les Sonates et Partitas de JS Bach, ainsi que le concerto de Tchaikovski (Vahan Mardirossian, direction).
Élève à Caen de Jean-Walter Audoli mais aussi d'Emmanuelle Haim, Stéphanie-Marie Degand est admise à l'unanimité en 1990 au Conservatoire de Paris dans la classe de Jacques Ghestem où elle fait un parcours original et remarqué (quatre 1ers prix et un cycle de perfectionnement en violon). Elle y fonde sa démarche actuelle en étudiant tant les répertoires romantique et contemporain que baroque et classique, se perfectionnant auprès de William Christie, Patrick Bismuth, Christophe Rousset et Christophe Coin.
Depuis Stéphanie-Marie Degand mène une carrière brillante et atypique. Soliste, récitaliste, chambriste mais aussi violon solo engagé, elle s'attache à rechercher les sonorités et les styles propres à chaque oeuvre du vaste répertoire violonistique. Cette démarche artistique est régulièrement saluée : Grand Prix de l'Adami 95, 2ème Prix du Concours Ferrras-Barbizet 97, finaliste au concours Munich ARD 98, Révélation Classique au Midem 98, Lauréate de la Fondation Natexis 99 et Prix de la Sacem 2002. En 2005 elle est nommée Révélation « Soliste Instrumental » aux Victoires de la Musique Classique.
Stéphanie-Marie Degand se produit dans les meilleures salles et festivals européens, notamment aux côtés de Violaine Cochard, Olivier Peyrebrune, Vahan Mardirossian, Vanessa Wagner, Xavier Phillips, Emmanuelle Bertrand et Antoine Tamestit, et avec des orchestres historiques tels que la Chambre Phillharmonique, Le King’s Consort, Les Siècles, Le Parlement de Musique.
Son disque-récital de Biber à Tanguy (Intrada 2002) a été chaleureusement accueilli par la Critique (ffff de Télérama). Elle a également gravé deux Concertos du Chevalier de St George (Assai) et le Concerto pour violon et orgue de Haydn avec Olivier Vernet (Ligia).En 2006 sont parus les Duos pour violon et alto de Mozart avec Pierre Franck (Ligia) ainsi que les « German Arias » pour soprano et violon de G.F.Haendel avec Carolyn Sampson et le King’s Consort (Hypérion) ; en 2008 les Sonates et Romances de Schumann avec O.Peyrebrune (Ligia) et en 2009 un récital consacré à Théodore Dubois avec Laurent Martin (Ligia). Un récital Mozart-Duphly (Violaine Cochard, clavecin) est à paraitre, et en 2011-12 elle enregistre les Sonates et Partitas de JS Bach, ainsi que le concerto de Tchaikovski (Vahan Mardirossian, direction).

Isabelle DUHA
Harmonie
Ancienne élève au Conservatoire de Paris, Isabelle Duha y obtient les 1ers Prix d'Harmonie, de Contrepoint et de Fugue, ainsi qu'une 1ère Médaille de Solfège spécialisé.
Titulaire du CA d'Écriture, elle est depuis 1976 professeur d'écriture et d'harmonisation au clavier à l'ENM d'Issy-les-Moulineaux.
De 1993 à 1998, elle enseigne également au sein du département Pédagogie du CNSMDP, où elle est depuis 1993 Professeur d'Harmonisation au clavier (département des Disciplines théoriques) et d'Harmonie (département de la Formation supérieure des métiers du son).
Elle est également chargée de cours à l'École Normale Supérieure de Paris (Rue d'Ulm) et enseigne durant l'été à l'École d'Art Américaine de Fontainebleau.
Isabelle Duha est l'auteur d'un ouvrage pédagogique (L'Harmonie en liberté, Éditions Billaudot).
Pianiste, elle se produit dans le cadre de concerts de musique de chambre.
Ancienne élève au Conservatoire de Paris, Isabelle Duha y obtient les 1ers Prix d'Harmonie, de Contrepoint et de Fugue, ainsi qu'une 1ère Médaille de Solfège spécialisé.
Titulaire du CA d'Écriture, elle est depuis 1976 professeur d'écriture et d'harmonisation au clavier à l'ENM d'Issy-les-Moulineaux.
De 1993 à 1998, elle enseigne également au sein du département Pédagogie du CNSMDP, où elle est depuis 1993 Professeur d'Harmonisation au clavier (département des Disciplines théoriques) et d'Harmonie (département de la Formation supérieure des métiers du son).
Elle est également chargée de cours à l'École Normale Supérieure de Paris (Rue d'Ulm) et enseigne durant l'été à l'École d'Art Américaine de Fontainebleau.
Isabelle Duha est l'auteur d'un ouvrage pédagogique (L'Harmonie en liberté, Éditions Billaudot).
Pianiste, elle se produit dans le cadre de concerts de musique de chambre.

Alain GAUSSIN
Composition
Après avoir interrompu un cursus de mathématiques-physique-chimie pour se consacrer à la musique, sa formation professionnelle débute au Conservatoire national supérieur de musique de Paris en 1996. Lauréat de plusieurs Premiers prix dans les classes d'écritures et d'analyse, Allain Gaussin obtient également un prix de composition dans la classe d'Olivier Messiaen (lequel préface son recueil de poésies). Messiaen lui fait découvrir Xenakis, Berio, Ligeti et Kagel, des compositeurs qui deviendront de véritables références1. Puis il étudie l'informatique musicale à l'IRCAM. Parallèlement il étudie le piano avec Hélène Boschi et la direction de chœur et d’orchestre par l'intermédiaire de Louis Fourestier, tout en se formant également à la musique électroacoustique avec Pierre Schaeffer.
Après avoir interrompu un cursus de mathématiques-physique-chimie pour se consacrer à la musique, sa formation professionnelle débute au Conservatoire national supérieur de musique de Paris en 1996. Lauréat de plusieurs Premiers prix dans les classes d'écritures et d'analyse, Allain Gaussin obtient également un prix de composition dans la classe d'Olivier Messiaen (lequel préface son recueil de poésies). Messiaen lui fait découvrir Xenakis, Berio, Ligeti et Kagel, des compositeurs qui deviendront de véritables références1. Puis il étudie l'informatique musicale à l'IRCAM. Parallèlement il étudie le piano avec Hélène Boschi et la direction de chœur et d’orchestre par l'intermédiaire de Louis Fourestier, tout en se formant également à la musique électroacoustique avec Pierre Schaeffer.

Gary HOFFMAN
Violoncelle
La plénitude de la sonorité, une technique parfaite, une sensibilité artistique exceptionnelle caractérisent le style de Gary Hoffman.
Gary Hoffman fait ses débuts au Wigmore Hall de Londres dès l'âge de 15 ans. C’est ensuite New York qui l’accueille. A 22 ans il devient le plus jeune professeur de la célèbre école de musique de l'Université d'Indiana.
Premier Grand Prix Rostropovich à Paris, en 1986, il commence alors une carrière internationale et se produit avec les plus grandes formations: Chicago, London Symphony et English Chamber Orchestra, Montréal, Toronto, Baltimore, Los Angeles Chamber Orchestra, National Symphony Orchestra, Orchestre Philharmonique de Radio-France, Cleveland Orchestra, Philadelphie…
En récital, Gary Hoffman joue dans de célèbres salles: Alice Tully Hall, Suntory Hall, Kennedy Centre, Tivoli, Gulbenkian, St-Lawrence Center, Théâtre des Champs-Élysées, Beethovenhaus de Bonn, Philharmonie de Varsovie, Genève, Palau de la Musica à Valencia, Théâtre du Châtelet, Concertgebouw d’Amsterdam, ...Il a également très souvent joué au Lincoln Center Chamber Music Society (dont il a été membre pendant des années).
La plénitude de la sonorité, une technique parfaite, une sensibilité artistique exceptionnelle caractérisent le style de Gary Hoffman.
Gary Hoffman fait ses débuts au Wigmore Hall de Londres dès l'âge de 15 ans. C’est ensuite New York qui l’accueille. A 22 ans il devient le plus jeune professeur de la célèbre école de musique de l'Université d'Indiana.
Premier Grand Prix Rostropovich à Paris, en 1986, il commence alors une carrière internationale et se produit avec les plus grandes formations: Chicago, London Symphony et English Chamber Orchestra, Montréal, Toronto, Baltimore, Los Angeles Chamber Orchestra, National Symphony Orchestra, Orchestre Philharmonique de Radio-France, Cleveland Orchestra, Philadelphie…
En récital, Gary Hoffman joue dans de célèbres salles: Alice Tully Hall, Suntory Hall, Kennedy Centre, Tivoli, Gulbenkian, St-Lawrence Center, Théâtre des Champs-Élysées, Beethovenhaus de Bonn, Philharmonie de Varsovie, Genève, Palau de la Musica à Valencia, Théâtre du Châtelet, Concertgebouw d’Amsterdam, ...Il a également très souvent joué au Lincoln Center Chamber Music Society (dont il a été membre pendant des années).

Christian IVALDI
Piano
Bardé de prix du CNSM de Paris, surdoué du déchiffrage et de la réduction à vue, Christian Ivaldi est aussi flamboyant improvisateur que brillant soliste et chambriste. Il n'est pourtant pas de ceux qui rêvent d'être sous les feux de la rampe, mais plutôt de ceux qui aiment tirer les ficelles de la réussite et savourer leur victoire en coulisses.
Non qu'il boude son plaisir, lui qui accepte parfois de faire cavalier seul le temps d'un concerto : mais s'il se plaît de loin en loin à brouiller les pistes en figurant en tête d'affiche, cet amoureux de la musique préfère encore la servir avec galanterie, humilité et discrétion. Aussi la musique de chambre, réunissant son goût de la convivialité et son amour du partage, remporte-t-elle toutes ses faveurs - qu'il donne la réplique à Tabea Zimmermann, Christian Ferras, Yuri Bashmet ou Mstislav Rostropovitch en son temps, ou qu'il partage son tabouret avec Martha Argerich, Noel Lee et Georges Pludermacher. En la matière, la pratique très à part du piano à quatre mains est pour lui un plaisir de gourmet : un échange intime et quasi fusionnel, qu'il pratique avec délice aux côtés de son complice de toujours Jean-Claude Pennetier.
Bardé de prix du CNSM de Paris, surdoué du déchiffrage et de la réduction à vue, Christian Ivaldi est aussi flamboyant improvisateur que brillant soliste et chambriste. Il n'est pourtant pas de ceux qui rêvent d'être sous les feux de la rampe, mais plutôt de ceux qui aiment tirer les ficelles de la réussite et savourer leur victoire en coulisses.
Non qu'il boude son plaisir, lui qui accepte parfois de faire cavalier seul le temps d'un concerto : mais s'il se plaît de loin en loin à brouiller les pistes en figurant en tête d'affiche, cet amoureux de la musique préfère encore la servir avec galanterie, humilité et discrétion. Aussi la musique de chambre, réunissant son goût de la convivialité et son amour du partage, remporte-t-elle toutes ses faveurs - qu'il donne la réplique à Tabea Zimmermann, Christian Ferras, Yuri Bashmet ou Mstislav Rostropovitch en son temps, ou qu'il partage son tabouret avec Martha Argerich, Noel Lee et Georges Pludermacher. En la matière, la pratique très à part du piano à quatre mains est pour lui un plaisir de gourmet : un échange intime et quasi fusionnel, qu'il pratique avec délice aux côtés de son complice de toujours Jean-Claude Pennetier.

Maire-Josèphe JUDE
Piano
Née d’un père français et d’une mère sino-vietnamienne, c’est au Conservatoire de Nice que Marie-Josèphe JUDE commence ses études musicales. Elle y reçoit une double formation de piano et de harpe.
Artiste précoce, elle entre à l’âge de 13 ans au CNSMD de Paris en piano dans la classe d’Aldo Ciccolini. Elle y obtient ses premiers prix de piano et de musique de chambre 3 ans plus tard, ainsi qu’une licence de concert de l’École Normale de musique de Paris, en harpe.
Elle décide alors de partir à Londres pour se perfectionner auprès de Maria Curcio, grande pédagogue, disciple d’Arthur Schnabel.
Longtemps double instrumentiste, le choix du piano s’impose : elle est Lauréate du Concours International Clara Haskil de Vevey en 1989 et Victoire de la Musique en 1995.
Sa carrière de soliste la mène dès lors dans les salles et festivals du monde entier, de Montpellier à Bath, de la Roque d'Anthéron à Kuhmo, de Bagatelle à Locarno, elle a collaboré avec l'Orchestre de Paris, l'Orchestre Philharmonique de Nice, l'Orchestre National de Lyon, Les Siècles, l'Orchestre Symphonique de Tours, l'Orchestre de l'Académie Chopin de Varsovie, du BBC Scottish Orchestra, l'Orchestre Symphonique de Bâle, l'Orchestre Philharmonique du Luxembourg, le Brussels Philharmonic Orchestra, le MDR Orchestra à Leipzig et joué sous la direction de J.Märkl, F.Brüggen, C.Dutoit, E.Krivine, F-X.Roth, J.-Y.Ossonce, J.Axelrod, A.Tamayo ou encore K.Weise.
Née d’un père français et d’une mère sino-vietnamienne, c’est au Conservatoire de Nice que Marie-Josèphe JUDE commence ses études musicales. Elle y reçoit une double formation de piano et de harpe.
Artiste précoce, elle entre à l’âge de 13 ans au CNSMD de Paris en piano dans la classe d’Aldo Ciccolini. Elle y obtient ses premiers prix de piano et de musique de chambre 3 ans plus tard, ainsi qu’une licence de concert de l’École Normale de musique de Paris, en harpe.
Elle décide alors de partir à Londres pour se perfectionner auprès de Maria Curcio, grande pédagogue, disciple d’Arthur Schnabel.
Longtemps double instrumentiste, le choix du piano s’impose : elle est Lauréate du Concours International Clara Haskil de Vevey en 1989 et Victoire de la Musique en 1995.
Sa carrière de soliste la mène dès lors dans les salles et festivals du monde entier, de Montpellier à Bath, de la Roque d'Anthéron à Kuhmo, de Bagatelle à Locarno, elle a collaboré avec l'Orchestre de Paris, l'Orchestre Philharmonique de Nice, l'Orchestre National de Lyon, Les Siècles, l'Orchestre Symphonique de Tours, l'Orchestre de l'Académie Chopin de Varsovie, du BBC Scottish Orchestra, l'Orchestre Symphonique de Bâle, l'Orchestre Philharmonique du Luxembourg, le Brussels Philharmonic Orchestra, le MDR Orchestra à Leipzig et joué sous la direction de J.Märkl, F.Brüggen, C.Dutoit, E.Krivine, F-X.Roth, J.-Y.Ossonce, J.Axelrod, A.Tamayo ou encore K.Weise.

Anssi KARTTUNEN
Violoncelle
D’origine finlandaise, Anssi Karttunen appartient à l’élite des violoncellistes internationaux. Il imprime de sa virtuosité et de son style très personnel un répertoire aussi vaste que varié, qui s’étend de la musique ancienne aux œuvres contemporaines les plus récentes. Vibrant défenseur de la musique contemporaine, sa collaboration avec de nombreux compositeurs a contribué au développement de la technique de l’instrument, et a incité beaucoup d’entre eux à écrire des œuvres pour lui (Usko Meriläinen, Magnus Lindberg, Kaija Saariaho, Tan Dun, Rolf Wallin, Denis Cohen, Luca Francesconi, etc.). Karttunen a donné plus de 135 créations dont 24 concertos.
Sa passion pour son instrument le conduit également à la recherche et à la redécouverte de nombreux chefs-d’œuvre oubliés, ainsi qu’au travail d’arrangement pour son instrument. Dans ce même esprit, il joue aussi bien sur instrument moderne, que sur violoncelle classique, baroque et violoncello piccolo.
Anssi Karttunen possède une discographie étendue : ses enregistrements vont de l’intégrale de Beethoven sur instruments d’époque, jusqu’aux concertos avec la London Sinfonietta et le Philharmonique de Los Angeles sous la baguette d’Esa-Pekka Salonen, en passant par une sélection d’œuvres pour violoncelle seul. Les dernière parutions sont les concertos de Saariaho, Salonen et Lindberg chez Sony Classical, le concerto de Luca Francesconi chez Stradivarius, The Map de Tan Dun en DVD chez DG et des duos avec le clarinettiste Kari Kriikku chez Ondine. Entre 1994 et 1998, Anssi Karttunen a été directeur artistique de l’orchestre de chambre Avanti! à Helsinki et directeur du Festival Suvisoitto à Porvoo (Finlande). Il a aussi été le directeur artistique de la Biennale d’Helsinki 1995 et 1999. Entre 1999 et 2005 Karttunen était le violoncelle solo du London Sinfonietta. Karttunen joue en trio à cordes, Zebra Trio, avec le violoniste Ernst Kovacic et l’altiste Steven Dann.
Visiter le site de Anssi Karttunen.
D’origine finlandaise, Anssi Karttunen appartient à l’élite des violoncellistes internationaux. Il imprime de sa virtuosité et de son style très personnel un répertoire aussi vaste que varié, qui s’étend de la musique ancienne aux œuvres contemporaines les plus récentes. Vibrant défenseur de la musique contemporaine, sa collaboration avec de nombreux compositeurs a contribué au développement de la technique de l’instrument, et a incité beaucoup d’entre eux à écrire des œuvres pour lui (Usko Meriläinen, Magnus Lindberg, Kaija Saariaho, Tan Dun, Rolf Wallin, Denis Cohen, Luca Francesconi, etc.). Karttunen a donné plus de 135 créations dont 24 concertos.
Sa passion pour son instrument le conduit également à la recherche et à la redécouverte de nombreux chefs-d’œuvre oubliés, ainsi qu’au travail d’arrangement pour son instrument. Dans ce même esprit, il joue aussi bien sur instrument moderne, que sur violoncelle classique, baroque et violoncello piccolo.
Anssi Karttunen possède une discographie étendue : ses enregistrements vont de l’intégrale de Beethoven sur instruments d’époque, jusqu’aux concertos avec la London Sinfonietta et le Philharmonique de Los Angeles sous la baguette d’Esa-Pekka Salonen, en passant par une sélection d’œuvres pour violoncelle seul. Les dernière parutions sont les concertos de Saariaho, Salonen et Lindberg chez Sony Classical, le concerto de Luca Francesconi chez Stradivarius, The Map de Tan Dun en DVD chez DG et des duos avec le clarinettiste Kari Kriikku chez Ondine. Entre 1994 et 1998, Anssi Karttunen a été directeur artistique de l’orchestre de chambre Avanti! à Helsinki et directeur du Festival Suvisoitto à Porvoo (Finlande). Il a aussi été le directeur artistique de la Biennale d’Helsinki 1995 et 1999. Entre 1999 et 2005 Karttunen était le violoncelle solo du London Sinfonietta. Karttunen joue en trio à cordes, Zebra Trio, avec le violoniste Ernst Kovacic et l’altiste Steven Dann.
Visiter le site de Anssi Karttunen.

Robert LEVIN
Piano
Le pianiste et chef d'orchestre Robert Levin s'est produit aux États-Unis, en Europe, en Australie et en Asie. Ses engagements en solo incluent les orchestres d'Atlanta, Berlin, Birmingham, Boston, Chicago, Cleveland, Detroit, Los Angeles, Montréal, Utah et Vienne sur le Steinway avec des chefs d'orchestre tels que Semyon Bychkov, James Conlon, Bernard Haitink, Sir Neville Marriner, Seiji Ozawa, Sir Simon Rattle et Esa-Pekka Salonen. Sur des pianos d'époque, il s'est produit avec l'Academy of Ancient Music, English Baroque Soloists, Handel & Haydn Society, Orchestra of the Age of Enlightenment et l'Orchestre Révolutionnaire et Romantique, avec Sir John Eliot Gardiner, Christopher Hogwood, Sir Charles Mackerras, Nicholas McGegan , et Sir Roger Norrington.
Réputé pour ses embellissements improvisés et ses cadences dans le répertoire de la période classique, Robert Levin a réalisé des enregistrements pour DG Archiv, CRI, Decca, Deutsche Grammophon, Deutsche Harmonia Mundi, ECM, New York Philomusica, Nonesuch, Philips et SONY Classical. Ceux-ci incluent un cycle de concerto de Mozart pour Decca; un cycle de concertos de Beethoven pour DG Archiv (y compris l'enregistrement en première mondiale de l'arrangement de Beethoven du Quatrième Concerto pour piano et quintette à cordes) ; et l'intégrale des concertos pour clavecin de Bach avec Helmuth Rilling, ainsi que les six Suites anglaises (au piano) et les deux livres du Clavier bien tempéré (sur cinq instruments à clavier) dans le cadre de l'édition Bachakademie de 172 CD de Hänssler. ECM publiera sa traversée des sonates pour piano de Mozart sur le piano de Mozart. Il est un partenaire régulier du violoncelliste Steven Isserlis, avec qui il a enregistré l'intégrale de la musique pour piano et violoncelle de Beethoven, et du pianiste Ya-Fei Chuang, avec qui il se produit en récital et avec orchestre. Plus tôt cette année, il a fait une tournée en Europe et aux États-Unis avec la violoniste Hilary Hahn.
Le pianiste et chef d'orchestre Robert Levin s'est produit aux États-Unis, en Europe, en Australie et en Asie. Ses engagements en solo incluent les orchestres d'Atlanta, Berlin, Birmingham, Boston, Chicago, Cleveland, Detroit, Los Angeles, Montréal, Utah et Vienne sur le Steinway avec des chefs d'orchestre tels que Semyon Bychkov, James Conlon, Bernard Haitink, Sir Neville Marriner, Seiji Ozawa, Sir Simon Rattle et Esa-Pekka Salonen. Sur des pianos d'époque, il s'est produit avec l'Academy of Ancient Music, English Baroque Soloists, Handel & Haydn Society, Orchestra of the Age of Enlightenment et l'Orchestre Révolutionnaire et Romantique, avec Sir John Eliot Gardiner, Christopher Hogwood, Sir Charles Mackerras, Nicholas McGegan , et Sir Roger Norrington.
Réputé pour ses embellissements improvisés et ses cadences dans le répertoire de la période classique, Robert Levin a réalisé des enregistrements pour DG Archiv, CRI, Decca, Deutsche Grammophon, Deutsche Harmonia Mundi, ECM, New York Philomusica, Nonesuch, Philips et SONY Classical. Ceux-ci incluent un cycle de concerto de Mozart pour Decca; un cycle de concertos de Beethoven pour DG Archiv (y compris l'enregistrement en première mondiale de l'arrangement de Beethoven du Quatrième Concerto pour piano et quintette à cordes) ; et l'intégrale des concertos pour clavecin de Bach avec Helmuth Rilling, ainsi que les six Suites anglaises (au piano) et les deux livres du Clavier bien tempéré (sur cinq instruments à clavier) dans le cadre de l'édition Bachakademie de 172 CD de Hänssler. ECM publiera sa traversée des sonates pour piano de Mozart sur le piano de Mozart. Il est un partenaire régulier du violoncelliste Steven Isserlis, avec qui il a enregistré l'intégrale de la musique pour piano et violoncelle de Beethoven, et du pianiste Ya-Fei Chuang, avec qui il se produit en récital et avec orchestre. Plus tôt cette année, il a fait une tournée en Europe et aux États-Unis avec la violoniste Hilary Hahn.

Diana LIGETI
Violoncelle
A la suite de ses études musicales en Roumanie, Diana Ligeti poursuit au CNSM de Paris le 3ème cycle, (cycle de perfectionnement) dans les classes de Klaus Heitz (violoncelle) et de Christian Ivaldi. (musique de chambre). Elle suit des nombreuses Master-classes de violoncelle et de musique de chambre avec Yo Yo Ma, Janos Starker, Siegfried Palm, Radu Aldulescu, Michel Strauss, Sigmund Nissel…..Diana Ligeti complète ses études musicales à l’Université de Paris IV (Sorbonne) où elle obtient une Maitrise de musicologie. Remarquée par Lord Yehudi Menuhin, elle se perfectionne à l’International Menuhin Music Academy de Gstaad en Suisse. Diana Ligeti est titulaire du CA de violoncelle et de musique de chambre.
Finaliste du concours de l’ARD de Munich en 1992, elle gagne la même année le 1er Grand Prix au Concours International de violoncelle de Douai. En 1996, elle remporte avec le « Trio Ligeti » le 1er prix au Concours International de Musique de Chambre d’Osaka, au Japon.
Diana Ligeti a une longue expérience de soliste et de chambriste et joue dans le monde entier avec des partenaires prestigieux comme Martha Argerich, Boris Berezovsky, Bruno Giuranna, Christian Ivaldi, Philippe Entremont, Chang-Cook Kim, etc. Elle est membre des ensembles « Trio Georges Sand», « Calliopee », et elle est violoncelle solo du tout nouveau Open chamber orchestra. Diana Ligeti a enregistré pour Arion, Polymnies, Leman classics, Japan Chamber Music Foundation, Alphae, Warner, Elstir… des disques qui ont remporté les éloges de la critique dont un FFFF de « Télérama », un Choc du « Monde de la musique » et un Diamant de « Opéra magazine ».
A la suite de ses études musicales en Roumanie, Diana Ligeti poursuit au CNSM de Paris le 3ème cycle, (cycle de perfectionnement) dans les classes de Klaus Heitz (violoncelle) et de Christian Ivaldi. (musique de chambre). Elle suit des nombreuses Master-classes de violoncelle et de musique de chambre avec Yo Yo Ma, Janos Starker, Siegfried Palm, Radu Aldulescu, Michel Strauss, Sigmund Nissel…..Diana Ligeti complète ses études musicales à l’Université de Paris IV (Sorbonne) où elle obtient une Maitrise de musicologie. Remarquée par Lord Yehudi Menuhin, elle se perfectionne à l’International Menuhin Music Academy de Gstaad en Suisse. Diana Ligeti est titulaire du CA de violoncelle et de musique de chambre.
Finaliste du concours de l’ARD de Munich en 1992, elle gagne la même année le 1er Grand Prix au Concours International de violoncelle de Douai. En 1996, elle remporte avec le « Trio Ligeti » le 1er prix au Concours International de Musique de Chambre d’Osaka, au Japon.
Diana Ligeti a une longue expérience de soliste et de chambriste et joue dans le monde entier avec des partenaires prestigieux comme Martha Argerich, Boris Berezovsky, Bruno Giuranna, Christian Ivaldi, Philippe Entremont, Chang-Cook Kim, etc. Elle est membre des ensembles « Trio Georges Sand», « Calliopee », et elle est violoncelle solo du tout nouveau Open chamber orchestra. Diana Ligeti a enregistré pour Arion, Polymnies, Leman classics, Japan Chamber Music Foundation, Alphae, Warner, Elstir… des disques qui ont remporté les éloges de la critique dont un FFFF de « Télérama », un Choc du « Monde de la musique » et un Diamant de « Opéra magazine ».

Raphaël MERLIN
Violoncelle
Né en 1982, Raphaël Merlin a suivi un cursus musical très complet : violoncelle, musique de chambre, piano, composition, piano-jazz, direction d'orchestre (CNR de Clermont-Ferrand, CNR de Boulogne-Billancourt, CNSMD de Paris).
La musique de chambre, occupe aujourd’hui une part centrale de son activité notamment depuis son entrée, en 2002, dans le Quatuor Ebène.
Raphaël Merlin s’est produit comme soliste avec les orchestres de Massy, du conservatoire Tchaïkovski de Moscou, d'Auvergne, de Paris-Sorbonne, Sostenuto, Ut 5ème...
Il réalise de nombreux arrangements (classique, jazz, tango, musique du monde). De 1997 à 2002, il est le pianiste du Wildflower Quartet (jazz). Il joue aussi en duo avec le guitariste Kevin Seddiki, s’investit dans des projets d’éclectisme (Festival « Les Chaises musicales ». Membre périodique de l’ensemble Contraste aux côtés d’Arnaud Thorette et Johan Farjot, il enregistre le trio op. 114 de Brahms (Accord-Universal), le trio de Philippe Hersant (Triton), et un album de tango, « Café 1930 » (Zig-Zag Territoires).
En tant que chef d’orchestre, il a dirigé l’orchestre du lycée Racine, le Sérénade Orchestra, l’Orchestre des lauréats du Conservatoire et l’orchestre Opus 93, et a cofondé « Le Petit Lion », orchestre du printemps musical de Saint-Cosme, dont il assure la direction musicale de 2008 à 2012. Depuis 2014, il dirige l'orchestre Les Forces Majeures, constitué prioritairement de chambristes.
Passionné d’enseignement depuis sa rencontre avec Xavier Gagnepain, titulaire du CA, il donne des masterclass de musique de chambre, notamment au CNSM et à Los Angeles.
Né en 1982, Raphaël Merlin a suivi un cursus musical très complet : violoncelle, musique de chambre, piano, composition, piano-jazz, direction d'orchestre (CNR de Clermont-Ferrand, CNR de Boulogne-Billancourt, CNSMD de Paris).
La musique de chambre, occupe aujourd’hui une part centrale de son activité notamment depuis son entrée, en 2002, dans le Quatuor Ebène.
Raphaël Merlin s’est produit comme soliste avec les orchestres de Massy, du conservatoire Tchaïkovski de Moscou, d'Auvergne, de Paris-Sorbonne, Sostenuto, Ut 5ème...
Il réalise de nombreux arrangements (classique, jazz, tango, musique du monde). De 1997 à 2002, il est le pianiste du Wildflower Quartet (jazz). Il joue aussi en duo avec le guitariste Kevin Seddiki, s’investit dans des projets d’éclectisme (Festival « Les Chaises musicales ». Membre périodique de l’ensemble Contraste aux côtés d’Arnaud Thorette et Johan Farjot, il enregistre le trio op. 114 de Brahms (Accord-Universal), le trio de Philippe Hersant (Triton), et un album de tango, « Café 1930 » (Zig-Zag Territoires).
En tant que chef d’orchestre, il a dirigé l’orchestre du lycée Racine, le Sérénade Orchestra, l’Orchestre des lauréats du Conservatoire et l’orchestre Opus 93, et a cofondé « Le Petit Lion », orchestre du printemps musical de Saint-Cosme, dont il assure la direction musicale de 2008 à 2012. Depuis 2014, il dirige l'orchestre Les Forces Majeures, constitué prioritairement de chambristes.
Passionné d’enseignement depuis sa rencontre avec Xavier Gagnepain, titulaire du CA, il donne des masterclass de musique de chambre, notamment au CNSM et à Los Angeles.

Philippe MULLER
Violoncelle
Né en Alsace, Philippe Muller a grandi dans les traditions musicales française et allemande de cette province. Il a gardé un esprit ouvert aux différentes cultures et a poursuivi une carrière aux multiples facettes, interprétant un vaste répertoire, non seulement en tant que soliste, mais aussi en tant que membre de divers ensembles de musique de chambre. En 1970, avec Jacques Rouvier et Jean-Jacques Kantorow, il fonde un trio avec piano particulièrement apprécié pour son dynamisme et son homogénéité. Ses sept années de collaboration avec l'Ensemble Intercontemporain, fondé en France par Pierre Boulez, lui ont permis de comprendre et de gérer la musique de notre temps.
En 1979, il succède à son maître André Navarra comme professeur de violoncelle au Conservatoire de Paris. Ses plus de trois décennies d'enseignement au Conservatoire lui ont permis de former un nombre impressionnant de jeunes violoncellistes. Beaucoup d'entre eux, comme Xavier Phillips et Gautier Capuçon, par exemple, ont aujourd'hui des parcours individuels remarquables.
Philippe Muller a été invité à donner des master classes dans de prestigieuses institutions à travers le monde, notamment à Kyoto, au Japon, où depuis vingt-deux ans il est impliqué dans une académie de musique française. De nombreux festivals internationaux l'invitent régulièrement. Il se produit principalement en Europe, mais aussi au Canada, aux États-Unis, en Amérique latine, au Japon et en Corée.
La vaste discographie de M. Muller reflète sa personnalité, présentant une gamme d'œuvres allant de Vivaldi, Beethoven et Brahms à Fauré, Ravel, Martinu, Malec et Merlet, sans oublier les suites complètes de J. S. Bach.
Il joue un Gennaro Gagliano de 1756.
Né en Alsace, Philippe Muller a grandi dans les traditions musicales française et allemande de cette province. Il a gardé un esprit ouvert aux différentes cultures et a poursuivi une carrière aux multiples facettes, interprétant un vaste répertoire, non seulement en tant que soliste, mais aussi en tant que membre de divers ensembles de musique de chambre. En 1970, avec Jacques Rouvier et Jean-Jacques Kantorow, il fonde un trio avec piano particulièrement apprécié pour son dynamisme et son homogénéité. Ses sept années de collaboration avec l'Ensemble Intercontemporain, fondé en France par Pierre Boulez, lui ont permis de comprendre et de gérer la musique de notre temps.
En 1979, il succède à son maître André Navarra comme professeur de violoncelle au Conservatoire de Paris. Ses plus de trois décennies d'enseignement au Conservatoire lui ont permis de former un nombre impressionnant de jeunes violoncellistes. Beaucoup d'entre eux, comme Xavier Phillips et Gautier Capuçon, par exemple, ont aujourd'hui des parcours individuels remarquables.
Philippe Muller a été invité à donner des master classes dans de prestigieuses institutions à travers le monde, notamment à Kyoto, au Japon, où depuis vingt-deux ans il est impliqué dans une académie de musique française. De nombreux festivals internationaux l'invitent régulièrement. Il se produit principalement en Europe, mais aussi au Canada, aux États-Unis, en Amérique latine, au Japon et en Corée.
La vaste discographie de M. Muller reflète sa personnalité, présentant une gamme d'œuvres allant de Vivaldi, Beethoven et Brahms à Fauré, Ravel, Martinu, Malec et Merlet, sans oublier les suites complètes de J. S. Bach.
Il joue un Gennaro Gagliano de 1756.

Régis PASQUIER
Violon
Né dans une illustre famille de musiciens, Régis Pasquier est bercé par la musique dès son plus jeune âge. Cette complicité précoce est d’emblée fructueuse puisqu’elle lui vaut de remporter, à 12 ans, ses Premiers Prix de violon et de musique de chambre au CNSM de Paris et de s’envoler, deux ans après, aux Etats-Unis. Le voyage sera décisif : il rencontre Isaac Stern, David Oïstrakh, Pierre Fournier et Nadia Boulanger. Séduit par son jeu, Zino Francescatti l’invitera quelques années plus tard à enregistrer avec lui , pour DGG, le Concerto pour deux violons de Bach.
Régis Pasquier effectue régulièrement un « tour du monde musical », se produisant, tant en musique de chambre (et plus particulièrement avec le Trio Pennetier-Pasquier-Pidoux) qu’avec des orchestres, en Australie, au Japon, au Canada, aux USA, en Amérique Centrale, en Amérique du Sud, en Nouvelle-Calédonie, en Russie, sans oublier l’Europe : Grèce, Hongrie, Italie, Allemagne, Espagne, Portugal, Suède, etc., etc.
A la rentrée 2015, il devient professeur à l’Ecole Normale de Musique de Paris.
Né dans une illustre famille de musiciens, Régis Pasquier est bercé par la musique dès son plus jeune âge. Cette complicité précoce est d’emblée fructueuse puisqu’elle lui vaut de remporter, à 12 ans, ses Premiers Prix de violon et de musique de chambre au CNSM de Paris et de s’envoler, deux ans après, aux Etats-Unis. Le voyage sera décisif : il rencontre Isaac Stern, David Oïstrakh, Pierre Fournier et Nadia Boulanger. Séduit par son jeu, Zino Francescatti l’invitera quelques années plus tard à enregistrer avec lui , pour DGG, le Concerto pour deux violons de Bach.
Régis Pasquier effectue régulièrement un « tour du monde musical », se produisant, tant en musique de chambre (et plus particulièrement avec le Trio Pennetier-Pasquier-Pidoux) qu’avec des orchestres, en Australie, au Japon, au Canada, aux USA, en Amérique Centrale, en Amérique du Sud, en Nouvelle-Calédonie, en Russie, sans oublier l’Europe : Grèce, Hongrie, Italie, Allemagne, Espagne, Portugal, Suède, etc., etc.
A la rentrée 2015, il devient professeur à l’Ecole Normale de Musique de Paris.

Marianne PIKETTY
Violon
Diplômée au CNSM de Paris et à la Juilliard School de New York, elle est l’une des héritières de la tradition classique du violon grâce à sa formation auprès de grands maîtres tels que Itzhak Perlman ou Yehudi Menuhin.
En 2013, Marianne Piketty réunit autour d’elle Le Concert Idéal, ensemble à géométrie variable de solistes et chambristes internationaux venus d’horizons aussi divers que spécialisés qui emploient toutes leurs ressources pour explorer la musique sous toutes ses coutures, au travers du temps et de l’espace mais aussi de ses relations avec la littérature, le théâtre et la danse.
Artiste aussi charismatique qu’incontournable, Marianne Piketty se distingue notamment par une extraordinaire envie d’entreprendre, un goût inépuisable pour les nouvelles rencontres et la performance, avec toujours au cœur la volonté de partage et l’esprit du collectif. La rigueur, l’exigence et le dépassement de soi sont les maîtres mots d’une violoniste qui pratique son instrument au pas de course, au rythme d’un athlète.
Marianne Piketty joue un violon vénitien de Carlo Tononi daté de 1685.
Diplômée au CNSM de Paris et à la Juilliard School de New York, elle est l’une des héritières de la tradition classique du violon grâce à sa formation auprès de grands maîtres tels que Itzhak Perlman ou Yehudi Menuhin.
En 2013, Marianne Piketty réunit autour d’elle Le Concert Idéal, ensemble à géométrie variable de solistes et chambristes internationaux venus d’horizons aussi divers que spécialisés qui emploient toutes leurs ressources pour explorer la musique sous toutes ses coutures, au travers du temps et de l’espace mais aussi de ses relations avec la littérature, le théâtre et la danse.
Artiste aussi charismatique qu’incontournable, Marianne Piketty se distingue notamment par une extraordinaire envie d’entreprendre, un goût inépuisable pour les nouvelles rencontres et la performance, avec toujours au cœur la volonté de partage et l’esprit du collectif. La rigueur, l’exigence et le dépassement de soi sont les maîtres mots d’une violoniste qui pratique son instrument au pas de course, au rythme d’un athlète.
Marianne Piketty joue un violon vénitien de Carlo Tononi daté de 1685.

Gérard POULET
Violon
Gérard Poulet est un violoniste classique français. Il a été professeur, puis professeur honoraire du Conservatoire National Supérieur de Paris.
Parmi ses élèves figurent notamment les violonistes Yaïr Benaïm, Renaud Capuçon, Sarah Nemtanu... Il a également été professeur titulaire à l’École Normale de Musique de Paris et à l’Université des Arts de Tokyo. Il est toujours invité par le Conservatoire Américain de Fontainebleau chaque été.
Dans sa discographie, plusieurs enregistrements, notamment la Sonate pour violon solo de Bartók, les 24 Caprices de Paganini et des six Sonates et Partitas pour violon solo de Johann-Sebastian Bach, ont été chaleureusement accueillis par la critique.
Gérard Poulet est un violoniste classique français. Il a été professeur, puis professeur honoraire du Conservatoire National Supérieur de Paris.
Parmi ses élèves figurent notamment les violonistes Yaïr Benaïm, Renaud Capuçon, Sarah Nemtanu... Il a également été professeur titulaire à l’École Normale de Musique de Paris et à l’Université des Arts de Tokyo. Il est toujours invité par le Conservatoire Américain de Fontainebleau chaque été.
Dans sa discographie, plusieurs enregistrements, notamment la Sonate pour violon solo de Bartók, les 24 Caprices de Paganini et des six Sonates et Partitas pour violon solo de Johann-Sebastian Bach, ont été chaleureusement accueillis par la critique.

John STULZ
Alto
Né en 1988 dans l’Ohio (États-Unis), John Stulz est membre de l’ensemble intercontemporain depuis 2015.
Après ses études de violon et d’alto auprès de Roland et Almita Vamos à Chicago, il obtient sa licence de musique à l’Université de Californie du Sud dans la classe de Donald McInnes, ainsi que son master sous la tutelle de Kim Kashkashian et Garth Knox au Conservatoire de New England.
Passionné par la collaboration et le partage musical, John Stulz se produit dans le monde entier avec l’Ensemble intercontemporain, ainsi que d’autres organisations comme le Klangforum Wien, le Ensemble Modern, le Saint Paul Chamber Orchestra, le Talea Ensemble, l’Ensemble ACJW, Decoda, l’Omnibus Ensemble de Tachkent (Ouzbekistan) et le Marlboro Music Festival.
Son esprit entrepreneurial l’amène à créer le What’s Next? Ensemble à Los Angeles en 2007 avec le chef d’orchestre Vimbayi Kaziboni, ainsi que le VIVO Music Festival dans sa ville natale de
Columbus en Ohio en 2015 avec le violoniste Siwoo Kim et le Trio Estatico en 2019 avec les altistes Megumi Kasakawa (Ensemble Modern) et Paul Beckett (Klangforum Wien).
Né en 1988 dans l’Ohio (États-Unis), John Stulz est membre de l’ensemble intercontemporain depuis 2015.
Après ses études de violon et d’alto auprès de Roland et Almita Vamos à Chicago, il obtient sa licence de musique à l’Université de Californie du Sud dans la classe de Donald McInnes, ainsi que son master sous la tutelle de Kim Kashkashian et Garth Knox au Conservatoire de New England.
Passionné par la collaboration et le partage musical, John Stulz se produit dans le monde entier avec l’Ensemble intercontemporain, ainsi que d’autres organisations comme le Klangforum Wien, le Ensemble Modern, le Saint Paul Chamber Orchestra, le Talea Ensemble, l’Ensemble ACJW, Decoda, l’Omnibus Ensemble de Tachkent (Ouzbekistan) et le Marlboro Music Festival.
Son esprit entrepreneurial l’amène à créer le What’s Next? Ensemble à Los Angeles en 2007 avec le chef d’orchestre Vimbayi Kaziboni, ainsi que le VIVO Music Festival dans sa ville natale de
Columbus en Ohio en 2015 avec le violoniste Siwoo Kim et le Trio Estatico en 2019 avec les altistes Megumi Kasakawa (Ensemble Modern) et Paul Beckett (Klangforum Wien).

Pierre-Henri XUEREB
Alto
Après avoir reçu un premier prix d'alto au Conservatoire d'Avignon à l'âge de 13 ans, il reçoit un premier prix d'alto du CNSM à Paris à l'âge de 16 ans.
Après deux ans à l'école Juilliard et deux ans à l'Université de Boston où ses professeurs sont Walter Trampler, Lillian Fuchs, le Quatuor Juilliard. il devient alto solo de l'Ensemble Inter-contemporain à Paris dirigé par Pierre Boulez à l'âge de 19 ans.
Il est à l'hiver 1981, l'un des derniers étudiants de William Primrose (Provo-Utah).
Depuis lors, sa carrière internationale l'a amené dans de nombreuses salles de concerts à travers le monde: Lincoln Center, Wigmore Hall, Théâtre des Champs-Elysées, Teatro La Scala (Milan), Gulbenkian Foudation (Lisbonne), Festival de Lucerne ...
Il s'est produit comme soliste avec l'Ensemble Instrumental de France, l'Ensemble Intercontemporain, l'Ensemble Alternance, l'Orchestre Symphonique de Tel Aviv, l'Orchestre Symphonique de Tel Aviv, l'Orchestre Symphonique de Tel Aviv, l'Orchestre Symphonique de France, Dusan Skovran Orchestra (Belgrade) ...
Il a donné de nombreuses premières mondiales de compositeurs: K.Stockhausen, Klaus Huber, Philippe Hersant, Jean Michel Damase, Bruno Mantovani, Pjilippe Schoeller, Philippe Manoury, Heinz Holliger, Alessandro Solbiati, Joseph Vella, Edith Lejet ...
Après avoir reçu un premier prix d'alto au Conservatoire d'Avignon à l'âge de 13 ans, il reçoit un premier prix d'alto du CNSM à Paris à l'âge de 16 ans.
Après deux ans à l'école Juilliard et deux ans à l'Université de Boston où ses professeurs sont Walter Trampler, Lillian Fuchs, le Quatuor Juilliard. il devient alto solo de l'Ensemble Inter-contemporain à Paris dirigé par Pierre Boulez à l'âge de 19 ans.
Il est à l'hiver 1981, l'un des derniers étudiants de William Primrose (Provo-Utah).
Depuis lors, sa carrière internationale l'a amené dans de nombreuses salles de concerts à travers le monde: Lincoln Center, Wigmore Hall, Théâtre des Champs-Elysées, Teatro La Scala (Milan), Gulbenkian Foudation (Lisbonne), Festival de Lucerne ...
Il s'est produit comme soliste avec l'Ensemble Instrumental de France, l'Ensemble Intercontemporain, l'Ensemble Alternance, l'Orchestre Symphonique de Tel Aviv, l'Orchestre Symphonique de Tel Aviv, l'Orchestre Symphonique de Tel Aviv, l'Orchestre Symphonique de France, Dusan Skovran Orchestra (Belgrade) ...
Il a donné de nombreuses premières mondiales de compositeurs: K.Stockhausen, Klaus Huber, Philippe Hersant, Jean Michel Damase, Bruno Mantovani, Pjilippe Schoeller, Philippe Manoury, Heinz Holliger, Alessandro Solbiati, Joseph Vella, Edith Lejet ...
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